Loi Bertrand

Le Leem a pris connaissance de la publication dans la presse régionale de plusieurs articles sur les relations de travail entre les médecins exerçant dans les CHU et les entreprises du médicament. En conséquence, il condamne “une opération contre les médecins et les entreprises du médicaments, qui font front commun contre la maladie”. Pour en savoir plus, cliquer ici

Les journalistes des quinze quotidiens régionaux suivants ont enquêté pendant plusieurs mois sur les données de la base “Transparence Santé”: @lalsace @Lebienpublic @ledauphine @dnatweets @lestrepublicain @sudouest @lerepu @lamontagne_fr @lanouvellerep_ @OuestFrance @le_Parisien @lepopulaire_fr @le_progres @LeTelegramme @lavoixdunord Pour en savoir plus, cliquer ici (la montagne) , ici (le parisien) , ici (sud-ouest) ou encore ici (la nouvelle republique)

Malgré la succession des scandales sanitaires, les mesures de transparence sur les conflits d’intérêts entre médecins et firmes pharmaceutiques restent rudimentaires et mal mises en œuvre, ce qui empêche une réelle appropriation par les professionnels et les citoyens. La base de données EurosForDocs, rendue publique à l’occasion du lancement des « Pharma Papers », vise à remédier à cette situation. Cet outil vise à rendre accessibles et exploitables toutes les données de l’actuelle base Transparence Santé. Celle-ci répertorie les liens d’intérêts entre l’industrie pharmaceutique et les professions médicales, histoire de vérifier si tel médecin est totalement indépendant ou non. Or …

Le rapport de la « mission information et médicament » mise en place fin 2017 et présidée par Magali LEO (responsable du plaidoyer de l’Association Renaloo) et le Dr Gérald KIERZEK (praticien hospitalier et chroniqueur santé) a été remis lundi 3 septembre 2018 à Agnès Buzyn, la ministre des Solidarités et de la Santé. Ce document formule plusieurs recommandations pour rétablir la confiance, notamment “Un effort accru de transparence” : Réclamant “un effort accru de transparence” à toutes les étapes de vie du médicament, “le rapport propose de “faciliter l’accès aux données et documents scientifiques et économiques à l’origine des …

L’ordonnance du 19 janvier 2017 relative au dispositif anti-cadeaux vient renforcer les dispositions de la Loi Bertrand. Outre l’élargissement à l’ensemble des Industriels des produits de santé, remboursés ou pas, et des catégories de bénéficiaires concernées, elle précise la notion d’avantages et liste les dérogations dont l’admission est conditionnée à la conclusion d’une convention qui doit être déclarée ou autorisée selon les cas. La notion de « prestations de santé » et les modalités d’application de ces dispositions seront définies par un décret en Conseil d’Etat, en cours d’élaboration, qui doit comprendre notamment : – les procédures de déclaration et d’autorisation – l’autorité compétente chargée …

Bien que la nouvelle loi Anti-cadeaux n’ait pas encore vu le jour, il n’est pas inutile de rappeler le contexte de la loi DMOS de 1993 et d’en tirer les conséquences pratiques. Par ailleurs, il est possible de discerner dores et déjà quelques changements majeurs introduits par la nouvelle loi. Éclaircissements avec Stéphanie Roucou, directrice de La Fonderie Ressources et Thierry Souchon, Pharmacien Responsable Allergan France. Pour lire l’article de Stéphanie Roucou et Thierre Souchon