Les réseaux sociaux médicaux séduisent l’industrie pharmaceutique
Dédiés aux médecins et patients, ils attirent les budgets des laboratoires en leur permettant de toucher directement leur cible.
En 2005, lorsque le praticien Daniel Palestrant lance Sermo, un réseau social dédié aux médecins américains, il est l’un des pionniers sur le secteur. La start-up a depuis levé 41 millions de dollars avant de se faire racheter, en 2012, par le spécialiste de la data médicale WorldOne. La société est désormais présente dans quinze pays. 540 000 médecins représentant plus de 90 spécialités y discutent anonymement et gratuitement.
Pour lire l’article d’Aude Fredouelle