Chief Digital Officer : le Ninja de la transformation (digitale)
Sur les quatre dernières années, près de 20% des Fortune 500 américaines et européennes se sont dotées d’un Chief Digital Officer (CDO).
La France n’est pas en reste, avec des leaders tels que LVMH, L’Oréal, Total, SNCF ou encore SEB. Cependant, le «titre» de CDO se trouve de plus en plus dévoyé et de nombreux directeurs du digital et/ ou du e-commerce portent à présent le titre de Chief Digital Officer, sans toutefois en avoir ni le rôle, ni la responsabilité, ni les ressources.
L’objectif de cet article est de partager notre expérience à la fois en Europe et aux Etats Unis et de dresser un constat en sept points sur ce que devraient être le rôle et les responsabilités du CDO. On peut cependant dores et déjà s’interroger sur le titre même de Chief Digital Officer qui est sans doute peu représentatif des réelles responsabilités dont il a la charge.
Pour lire l’article de Aurélia Ammour et Christophe Biget